samedi 22 février 2014

Les Médicaments en "VENTE LIBRE"

Test-Achats est en Belgique ce que nous pourrions appeler en France une association de défense des consommateurs, comme il en existe de nombreuses plus ou moins politisées hélas pour nous, les consommateurs français !

La semaine dernière Test-Achats a publié son rapport concernant les tests sur des médicaments en « libre service », hélas, la mise en ligne des résultats est un peu compliquée, pour nous Français, à la consulter sur leur site car il est nécessaire de connaître toutes les appellations commerciales des différents médicaments (qui sont aussi en vente en France), c’est pour cela, que pour plus de facilité, je vous envoie consulter cette liste sur un quotidien belge : Le Soir, dont le titre est La liste des médicaments «contestables» et «à éviter» selon Test-Achats (une partie se trouve dans l’article et une autre dans les commentaires). Comme vous l’apprenez, cette étude a été réalisée par des médecins et des pharmaciens et concerne 4000 médicaments vendus en libre-service (= non remboursables par la Sécurité Sociale, tel que l’Aspirine, etc.). Ce qui est rassurant c’est qu’ils sont 57% à « être utiles », c’est-à-dire qu’ils agissent bien tel que cela est décrit dans la notice. Par contre, cela n’est pas du tout le cas pour 15% des produits testés qui non seulement n’agissent pas tel que la notice l’indique mais qui en plus les effets secondaires sont tels, qu’ils empirent les choses plutôt que de soigner (113 des médicaments testés ont été classés dans la catégorie « dangereux »)…
 
Même s’il est vrai que cela ne concerne que peu de médicaments (ceux qui sont pour une maladie devant être soignée par le monde médical comme la dépression – un psychologue ou un psychiatre sont plus apte à soigner ce style de maladie qu’une formule chimique), elle relance le débat sur les « médicaments génériques » qui coûtent plus chers à la Sécurité Sociale que les médicaments non-génériques et dont les effets secondaires sont souvent pire que la maladie qu’elle traite (ex. : la pilule qui ne remplit pas son rôle de contraceptif et qui entraîne chez certaine femme des maux d’estomac horribles quand elle a été remplacé par un générique par le pharmacien qui ne connaît nullement notre passif médical).

 

LAISSONS AUX MEDECINS LE DROIT
DE NOUS PRESCRIRE LES MEDICAMENTS
QU’IL NOUS FAUT POUR NOUS SOIGNER !
ET LA SECU FERA D’ENORMES ECONOMIES !!

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