La
semaine dernière Test-Achats a publié
son rapport concernant les
tests sur des médicaments en « libre service », hélas, la mise
en ligne des résultats est un peu compliquée, pour nous Français, à la
consulter sur leur site car il est nécessaire de connaître toutes les appellations
commerciales des différents médicaments (qui sont aussi en vente en France), c’est
pour cela, que pour plus de facilité, je vous envoie consulter cette liste sur
un quotidien belge : Le Soir, dont le
titre est La
liste des médicaments «contestables» et «à éviter» selon Test-Achats (une
partie se trouve dans l’article et une autre dans les commentaires). Comme vous
l’apprenez, cette étude a été réalisée par des médecins et des pharmaciens et
concerne 4000 médicaments vendus en libre-service (= non remboursables par la
Sécurité Sociale, tel que l’Aspirine, etc.). Ce qui est rassurant c’est qu’ils
sont 57% à « être utiles », c’est-à-dire qu’ils agissent bien tel que
cela est décrit dans la notice. Par contre, cela n’est pas du tout le cas pour
15% des produits testés qui non seulement n’agissent pas tel que la notice l’indique
mais qui en plus les effets secondaires sont tels, qu’ils empirent les choses
plutôt que de soigner (113 des médicaments testés ont été classés dans la
catégorie « dangereux »)…
Même
s’il est vrai que cela ne concerne que peu de médicaments (ceux qui sont pour
une maladie devant être soignée par le monde médical comme la dépression – un psychologue
ou un psychiatre sont plus apte à soigner ce style de maladie qu’une formule
chimique), elle relance le débat sur les « médicaments génériques »
qui coûtent plus chers à la Sécurité Sociale que les médicaments non-génériques
et dont les effets secondaires sont souvent pire que la maladie qu’elle traite
(ex. : la pilule qui ne remplit pas son rôle de contraceptif et qui
entraîne chez certaine femme des maux d’estomac horribles quand elle a été
remplacé par un générique par le pharmacien qui ne connaît nullement notre
passif médical).
LAISSONS AUX MEDECINS LE DROIT
DE NOUS PRESCRIRE LES MEDICAMENTS
QU’IL NOUS FAUT POUR NOUS SOIGNER !
ET LA SECU FERA D’ENORMES ECONOMIES !!
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