Troyes : concert d'orgue du 1er novembre 2015

 

Cathédrale de Troyes : grandes Orgues

Photo: sab1703

Dans le cadre des "rencontres musicales et spirituelles" de 2015, tous les visiteurs de la cathédrale de Troyes (Aube), ont eu le bonheur d'entendre les œuvres suivantes interprétées avec maestria par l'organiste Michael Matthes :

• Johann-Sébastian Bach : Sinfonia de la Cantate BMV 79
• Antonio Vivaldi : Largo e spiccato
• Jean Langlais : Acclamations carolingiennes
• Olivier Messiaen : Le banquet céleste
• Olivier Messiaen : Apparition de l'Eglise éternelle
• Louis Vierne : Berceuse
• Théodore Dubois : Toccata
• Georg Friedrich Haendel : Water Music

Mais il est à regretter que la population n'ait pas été informée de ce nouveau concert... en effet, c'est parce que je me doutais qu'il devait y avoir certainement quelque chose d'organiser à la Cathédrale de Troyes pour célébrer tous les saints que j'ai cherché et découvert, dans un minuscule encadré du site de la cathédrale (http://www.cathedraledetroyes.com/?page=Accueil), les informations concernant ce concert (heure et nom de l'organiste), et que j'ai pu m'y rendre et profiter de ce nouveau moment privilégié avec cet instrument que sont les Grandes Orgues de la Cathédrale de Troyes (plus d'informations concernant les Grandes Orgues : http://www.cathedraledetroyes.com/?page=Lesgrandesorgues2015). Ce manque de communication a, hélas, été la cause du peu de public pour écouter un artiste qui fait ressentir au spectateur la profondeur de chacune des notes. Oui, le spectateur ne peut pas rester indifférent à la technicité qu'a montré, à nouveau, Michael Matthes, dans son jeu... même si certaine personne n'apprécie pas la musique moderne pour l'orgue. Mais comme vous le voyez dans le programme, la répartition entre les modernes et les classiques étaient bien faite (il faut faire plaisir à tout le monde tout en en profitant pour faire connaître à tous certains compositeurs méconnus encore et qu'ils n'auraient, peut-être, jamais connus)...

Encore un grand Bravo ! à Michael Matthes