Encore
récemment nous n’avons pu que constater la violence émanant de
ces groupes qui se prétendent anti-globalisation (même si nombreux
d’entre eux semblent ignorer totalement la définition de la
« Globalisation » / « Mondialisation » et du
rôle du G20). Oui, s’ils savaient ce que ces 2 entités
signifient, ils arrêtaient de casser plus que les pieds au monde
entier pour collaborer afin que cette globalisation qu’ils
refusent, comme ils le prétendent (mdr !), soit aussi humaine…
La
« globalisation », à laquelle on peut donner le synonyme
de « universalité », est, dans son sens utopique
(hélas), la meilleure gestion pour profiter au maximum de notre
planète en gaspillant le moins possible ses richesses (non
uniquement financières mais aussi humaines ;))… cela donnerait,
sur le long terme, la possibilité de lutter efficacement contre :
-
la pauvreté,
-
les inégalités liés à la géographie et à la géopolitique,
-
une meilleure protection de l’environnement,
-
la paix entre les peuples car plus d’entre-aides entre individus
(et cela par choix et non par obligation - ce qui fait toute la
différence par rapport à aujourd’hui où l’on nous manipule
pour nous obliger à aider plus une nation qu’une autre, plus un
idéal qu’un autre.)…
Quant
au G20 il s’agit d’une entité abstraite, visant à ce que les
20 soi-disant plus grandes puissances économiques (moi je dirais plus qu'il s'agit là des 20 pays les plus endettés) s’entendent pour
préparer des discussions d’ordre mondial et pour proposer des
solutions élaborées, après discussions approfondies, sur les études
économiques et sociales des pays qui ont besoin d’être aidés.
Normalement le G20 doit aussi permettre une pré-discussion
concernant les demandes de prêts des différents pays… mais
parviennent-ils à en discuter dans les détails quand les
manifestants anti-G20 les empêchent de les étudier dans le calme ?
Nous ne pouvons qu’en douter...
Maintenant,
qui sont ces manifestants anti-G20 ?
A
chacune de leurs manifestations nous sommes témoins de la croissance
de leurs actes de violence (pour la dernière, la population locale a
même pu la qualifier de « quasi guerre »). Ces
manifestants nous annoncent « joyeusement » (là, je suis
d’accord pour les baffer) que les responsables de toute cette
violence sont ces « fachos de policiers » (ah ?
entre 2 jets de pierre, de cocktails Molotov, ils ont le temps de
demander aux policiers quels sont leurs idéaux politiques personnels
? Ils sont marrants, hein, tous ces assassins de masse potentiels…)…
et puis… ces policiers sont certainement aussi responsables de leur
mise en condition préalable lancée sur leurs sites webs favoris où
on leur conseille d’utiliser tel procédé plutôt qu’un autre
pour taper sur les policiers sans se faire bobo ? ben…
pourquoi pas ;) mdrrr ? autant accuser les forces de l’ordre
pour ça aussi ;)… tant qu’on y est… ils ne doivent plus en
être à une accusation près ;)...
Ils
prétendent qu’ils sont anti-globalisation, alors qu’ils en
utilisent les outils pour « globaliser » leurs attaques ?
oui, je dis bien « globaliser » et non « préparer »
leurs manifestations pour
présenter leurs arguments au sujet des
différents points qui seront abordés par les 20 ;)…
Pourtant,
parmi ces manifestants, certains le sont honnêtement, non pas
par « idéologie politique » (d'ailleurs, ceux-là, il serait très étonnant de les trouver parmi les lanceurs de cailloux...) mais suite à leurs
« réflexions personnelles » ils estiment qu’une erreur
est entrain d’être commise, que le sujet de la discussion du
moment va oublier certains points qu’ils leur semblent être d’une
importance capitale, etc., mais ceux-là doivent être dégoûtés par
toute cette violence qui les empêchent d’être écoutés, d’être
entendus, de pouvoir défendre leurs causes et promouvoir leurs
arguments, bref, d’ouvrir la discussion avec une autre vision de la
chose…
En
d’autre termes, ces manifestants anti-G20 pré-assassins
de masse, avec leur violence, luttent contre les idéaux
qu’ils prétendent défendre tout en stigmatisant leur groupe pour
que le monde refuse de les écouter… cherchez l’erreur !
Maintenant
regardons ensemble qui sont ces manifestants pré-assassins de
masse… où à chaque enquête on nous révèle qu’il s’agit
de groupes d’extrême-gauche… propagande politique ou réalité ?
Prenons
le cas, frais encore dans nos mémoires, des derniers faits de
violence dans le quartier populaire de Schanzen, à Hambourg, dans la
nuit du 7 au 8 juillet 2017.
Ce
quartier est «voisin» à celui du salon où se déroulait le sommet
du G20 (adresse de l’entrée principale : Messeplatz 1). Et remarquez que les faits les plus violents se sont déroulés après le départ du salon des représentants des 20 pays siégeant au dit sommet...
Qui
dit « quartier populaire » dit « quartier
majoritairement ouvriers », pourtant, c’est à ceux-là qui
ne gagnent pas une fortune et qui ne siègent pas au G20 (donc qui ne peuvent pas "agir"), que ces manifestants se sont attaqués :
-
en brûlant leur voiture (alors qu’ils n’ont pas forcément de
quoi s’en payer une autre),
-
en détruisant leur possibilité de profiter des transports en
commun (=> augmentation des difficultés pour que la population
locale puisse se rendre sur son lieu de travail qui risquera
d’engendrer des craintes, du point de vue de l’employeur, quand
il voudra embaucher et qu’un habitant du quartier postulera pour
la place, qui risquera alors de lui passer sous le nez...),
-
en saccageant leurs magasins de proximité (à la grande joie des
grands groupes qui vont profiter de ces « clients »
supplémentaires pour augmenter leur chiffre d’affaire : à
savoir, en Allemagne, les magasins de proximité sont très
concurrentiels aux grandes surfaces… donc, les actionnaires de ces
grandes surfaces peuvent remercier ces manifestants d’avoir
détruit quelques-uns de leurs concurrents),
-
en saccageant leurs distributeurs (là encore, les
Banques peuvent les remercier chaleureusement, car grâce à ces
coûts supplémentaires elles vont pouvoir augmenter leurs frais
bancaires prélevés sur les comptes de tous leurs clients… sympa
pour les clients ;) !),
-
en leur ayant fait passé une nuit dans la crainte qui leur interdit
de sortir (oui… rester enfermé chez soi ce soir tant attendu par
nombreux d’entre nous pour sortir car pas de réveil le lendemain
matin… sympa ça encore de la part de ces pré-assassins de masse)
ou de se reposer car, la nuit précédente, ces « gentils »
et « innocents » pré-assassins de masse leur ont fait
profité du bruit émanant de leur concert qu’ils avaient organisé
(sûrement pour exciter encore plus leur masse),
-
en faisant augmenter leurs impôts locaux (par leur camping sauvage
et interdit et tout le nettoyage obligé qui en résulte après leur
départ, par les destructions de biens publics, etc.).
Bref,
ces pseudo anti-capitalistes, tels qu’ils se proclament, ont
appauvri encore plus le «prolétariat» tout en enrichissant plus
encore les méchants « capitalistes ». Cherchez
l’erreur !
En
d’autres termes, leurs discours dans lesquels ils utilisent les
mots « anti-capitalisme », « travailleurs »
etc. nous rappellent à tous un parti bien connu : les partis
communistes (trotskiste, etc., je ne vais pas faire un cours sur
toutes les idéologies différentes contenues dans le concept du
« communisme »). Et il est donc tout à fait normal, qu’à
chaque fois, ils soient dans le collimateur de la police… et oui,
il ne s’agit pas là de « persécution policière »
(terme qu’ils adorent utiliser) mais bien de « justice »…
Toutefois
nous ne pouvons qu’être étonnés, nous Européens qui connaissons
le peu de % de la population intéressée par cette doctrine
politique (contrairement à de nombreux abstentionnistes, eux, votent
tous quand un des leurs se présente...) et quand on ramène leur taux atteint lors des dernières
élections au % de la population totale, nous constatons que les
partis extrémistes (de droite comme de gauche) reculent dans tous
les pays :), de constater tous les moyens financiers qu’ils ont…
d’où vient donc tout cet argent ? je ne parle pas ici des cocktails
Molotov que le manifestant doit payer sûrement de sa poche en utilisant sûrement aussi le
système D ;), et apporter avec lui, ou des pavés /
pierres, qu’il doit prélever localement et donc que les
contribuables locaux payent, mais de ces besoins financiers
importants (car mondiaux) pour mettre en place toute cette
logistique, toute cette propagande visant aussi à dissimuler les
véritables organisateurs derrières des pseudo-associations, par exemple…
Oui, il en faut, de l’argent pour héberger tous leurs sites
internet de tous les pays (pour les traducteurs, ça doit être
certainement local et bénévole…), les promouvoir entre membres
(une partie est gratuite via les réseaux sociaux, mais… pour le
restant ;) ?).
Une réponse possible m’est venue en tête
quand j’ai effectué les recherches sur
linksunten.indymedia (voir
l’article :
Liberté de la presse = tous les droits ? et la désinformation…) :
le parti communiste brésilien… pourquoi plus eux que d’autres ?
Rappelons d’abord quelques faits :
-
Après une longue dictature (1964 - 1989) pendant laquelle le PCBoB
(Partido
Comunista do Brasil) était interdit, ce parti
soutient l’élection de Luiz Inacio Lula da Silva, qui, sous
l’appelation PT (Parti des Travailleurs), après un premier échec
en 1989, devient le Président du Brésil en 2002, puis celle de
Dilma Rousseff en 2010. Dilma Rousseff est obligée de démissionner
en 2016 suite au scandale lié au silence concernant la dette
impossible à rembourser du Brésil.
-
La dette du Brésil, malgré son excellent PIB, est telle (plus de 1
Trillion et 500 Billions de Reals (= montant enregistré en juin
2012)) alors que le pays ne peut rembourser que 100 Billions de
Reals sur les 150 Billions de Reals nécessaires à payer les
intérêts (voir l’article :
La dette souveraine brésilienne, le cancer dont on ne parle pas !
du 8 juin 2012 et qui met en garde le Brésil sur leur avenir
économique proche (voir l’article du gouvernement français
Brésil où l'on nous explique la situation économique actuelle du Brésil, hélas, sans chiffre)),
entraîne la démission forcée de la présidente Dilma Rousseff qui
est remplacée par "son ennemi" Michel Temer (PMDB). Le Brésil est donc
« confronté » à ses créanciers, donc, quelque part,
aux membres du G20…
Lien intéressant à consulter aussi, hélas qu'en anglais, celui de la FMI concernant le cas : Brésil (pour accéder à tout les articles qui retracent l'historique de la dette brésilienne depuis 1997, cliquez ici)
Et
l’International jouant ;)…
... et voici un scénario tout ce
qu’il a de possible, non ? qui explique pourquoi les violences
augmentent au fil des sommets du G20 et continuera à augmenter
jusqu’à atteindre, on ne sait quoi…
Alors,
les pré-assassins de masse ! qui se laissent manipuler ? vous (qui
vous vous battez pour les intérêts étrangers aux vôtres et que
vous ignorez) ou moi (qui avant de m’engager dans une lutte regarde
à quoi je m’engage ;))