mardi 5 octobre 2021

Lutte contre la vaccination obligatoire des mineurs

Hier je vous ai promis que nous aborderions plus en détail le courrier qu'on nous demande d'adresser aux directeurs / directrices des écoles et de l'adapter pour l'expédier à des médecins, élus... je parle du courrier suivant :

Madame, Monsieur,
 
Nous vous encourageons à prendre connaissance des informations suivantes. Elles vous permettront certainement de mesurer à sa juste valeur les éventuelles conséquences, au titre de vos responsabilités civile et pénale, qui pourraient découler de votre participation à la campagne vaccinale orchestrée par le gouvernement.
 
En effet une telle voie pourrait déboucher dans un futur proche ou lointain, sur des condamnations financières voire d’emprisonnement sur le fondement des articles L5122-1 du Code de la Santé publique et sur l’art. 221-5-1 du Code pénal.
 
Rappelons tout d’abord que les « vaccins » actuellement proposés à l’injection ne possèdent qu’une autorisation de mise sur le marché (AMM) conditionnelle dont la période d’essai clinique court jusqu’en 2022, voire 2023 [confirmé par le Règlement CE n°726/2004 du Parlement Européen et du Conseil du 31 mars 2004]. Ainsi, leur administration à des êtres humains constitue une expérimentation dont on ignore les effets à moyen et long terme.
Leur efficacité contre les variants est toute relative : en Israël, où environ 60 % de la population est vaccinée, 60 % des patients hospitalisés en état sérieux le sont.
Même constat pour leur durée de protection : une étude a montré que 70 jours après la seconde injection, le titre en anticorps diminuait de 50 à 80 % relativement au jour 20 post-vaccination, pour les vaccins de Pfizer et d’Astra-Zeneca, respectivement.
 
Ajoutons qu’en date du 18 septembre, la vaccination est officiellement responsable en Europe de 25.248 décès et en France de 84.501 effets secondaires au 16 septembre dont 27 % d’effets graves. De ces effets secondaires graves, les enfants ne sont pas épargnés : 2 % d’entre eux sont touchés lorsque vaccinés avec Pfizer par exemple.
Or, d’après de nombreux scientifiques, les données de pharmacovigilance ne représentent en général que 5 % voir 1 % des remontées.
 
Qu’enfin, plusieurs centaines de personnes déposent actuellement dans de nombreux tribunaux de France, des plaintes contre X pour tentative d’empoisonnement, déplorant le fait que certains responsables de Santé Publique, continuent d’encourager les Français à recevoir un produit dangereux, dont on ignore la composition exacte, un produit expérimental, dont l’efficacité n’est pas démontrée et même contredite par les chiffres officiels.
 
Ainsi promouvoir la vaccination de vos élèves, c’est prendre le risque d’être considéré, au regard de la loi, comme complice de tentative d’empoisonnement punie à l’article 221-5-1 du Code pénal de 10 ans d’emprisonnement et 150.000 euro d’amende. D’autant qu’ayant eu ce courrier en votre possession vous ne pourrez prétendre ignorer les risques qu’encouraient vos élèves.
 
C’est aussi méconnaître le fait qu’il est interdit, au regard de l’article L5122-1 du Code de la santé publique, à tout non professionnel de santé d’exiger / recommander les injections anti-covid et ce non-respect est puni par l’article L5422-5 du même code « d’un an d’emprisonnement et de 150.000 euro d’amende. »
 
Enfin, au regard de l’art. 11 de la loi du 4 mars 2002 (dite loi Kouchner), il est fait obligation de donner une information claire, complète et appropriée sur des médicaments ou thérapies présentées à des personnes afin de recueillir leur consentement libre et éclairé. Aussi, l’encouragement pur et simple à la vaccination sans information précises sur les effets indésirables éventuels contrevient à cet article.
 
En espérant que cette lecture vous aura effectivement permis de mesurer la responsabilité ô combien peu envieuse qui repose sur vos épaules, veuillez agréer, Madame, Monsieur, mes salutations respectueuses.

Samedi, quand on nous a lu cette lettre, OK ! pas de problème, je participe, je vais l'envoyer et demander à mes proches de faire de même. Bon, mis à part une phrase qui pourrait porter à confusion, mais qui ne le peut pour tous ceux qui ne ferment pas les yeux sur ce qui se passe actuellement en Israël et/ou dans tous les pays où le taux de cette pseudo "vaccination" est élevé, cette lettre est bien tournée et exprime assez bien ce qu'on veut dire. Bravo à son rédacteur !

Mais voilà, malgré que le contenu de ce texte me convient, je ne l'expédierai pas. Pourquoi ? c'est à cause de l'autre feuille, celle sur laquelle il y a les sources des données. Là, j'ai fait plus d'un bond au plafond... et là, non, je ne vais pas envoyer ça, comme ça !!

D'abord le point sur les sources pour le passage concernant Israël et le taux de "vaccinés" hospitalisés, il s'agit certainement d'une erreur concernant la copie du lien internet, comme il arrive à tout le monde parfois... le lien communiqué mène vers un article de presse tiré du quotidien Jerusalem Post (ce qui ne pose aucun problème, au contraire), écrit en anglais (pour un anglophone, no problem), daté du 17 juillet 2021 (là ça commence à être un problème parce que le taux d'hospitalisés "vaccinés" n'était pas celui "d'aujourd'hui") et qui vante la 3e dose du vaccin pour les personnes âgées et expliquent quelles sont les nationalités pour lesquelles les frontières d'Israël sont dorénavant fermées (very big problem parce que ça ne correspond nullement à ce qui est écrit dans la lettre).

Mais, à la rigueur, si le destinataire ignore l'anglais, ça "pourrait" passer... à condition de ne pas tomber sur un anglophone qui a un esprit "curieux" et qui va aller sur le lien communiqué...

Là où j'ai commencé à sauter au plafond, c'est le cas de le dire, c'est quand j'ai vu que si j'expédiais le courrier ainsi, je risquais ou une amende ou de passer un laps de temps plus ou moins long en prison pour "usage de faux" ! Les données concernant le nombre de décès sur le sol de l'Union Européenne sont accessibles sur le site de l'EMA (European Medical Agency) à partir duquel sont fait les calculs de ceux qui estiment que, sous prétexte que les données sont issues d'un organisme européen, ils peuvent présenter le résultat de leur addition avec l'entête officielle de l'Union Européenne !!! ça, ça s'appelle "faire un faux" et c'est puni par la loi... même si cette addition a été faite correctement et avec sérieux (et ça, je connais le site d'où c'est tiré, donc je peux en garantir le sérieux même si certains trouvent une différence de plus ou moins 400 morts... ça dépend si on compte ou non ceux qui ont servis pour les premiers tests clinique, tout vaccin combiné), comment voulez-vous être pris au sérieux avec un tableau qu'on sait ne pas avoir été réalisé par l'EMA ??? et qui, pourtant, a l'entête de l'Union Européenne ??? La première réaction que le destinataire ne peut qu'avoir : ce tableau est faux => les chiffres sont faux => le courrier est sans valeur => il va à la poubelle... et ça, c'est la version "gentille", la version un peu moins "gentille" : on se fout de l'expéditeur, et encore moins "gentille", on le signale aux autorités pour suite juridique / pénale à donner pour "faux et usage de faux". Alors, non ! je n'expédierais pas un tel courrier. C'est pour cela que je n'ai pas conseillé à mes proches de l'imprimer et de l'expédier, eux aussi : je ne tiens pas à être responsable d'un procès, d'une condamnation pour "faux et usage de faux".

Pourquoi ne pas l'expédier sans cette 2nde page alors ?
Parce que le courrier est prévu de se retrouver expédié par plusieurs personnes pour les mêmes personnes. Ce destinataire va peut-être gardé qu'un exemplaire de cette seconde page accompagnée de toutes les lettres signées. Imaginez maintenant comment prouver que vous, vous n'avez pas expédié cette seconde page ???

Contre la vaccination j'avais déjà envoyé une lettre et à mon député et à ma sénatrice. Il s'agissait d'un courrier élaboré par une autre personne et que j'ai adapté à ce que moi, je pense... par exemple, dans le courrier on prétendait que la seule molécule pour traiter la COVID19 était la chloroquine alors que je savais qu'il y avait d'autres traitement et perso, je laisse le médecin qui a accès au dossier médical choisir le traitement à prendre ; je ne lui dicterais jamais il faut prendre cette molécule plutôt que celle-ci, je n'avais donc pas repris ce passage dans la lettre que j'avais expédiée... toutefois j'ai reçu du député exactement la même réponse que tout le monde, dans lequel on me parlait de la chloroquine ;) mdrr !! au contraire, ma sénatrice, parce que les sénateurs n'étaient pas destinataires du dit-courrier a répondu à ce que j'avais écrit : c'est-à-dire : elle est "pour" la vaccination parce qu'elle n'a pas compris en juillet les dangers de la dite vaccination, ainsi que ses enjeux. Tout ça pour vous dire que les destinataires ne liront pas toutes les lettres et si on en change le contenu, ils ne s'en apercevront sûrement pas.

En conclusion : ce courrier était une bonne idée, mais à cause de ce tableau, c'est devenu malheureusement un coup d'épée dans l'eau :(...

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