lundi 25 octobre 2021

Lettre à une des Sénatrices de l'Aube : Projet de loi portant diverses dispositions de vigilance sanitaire (procédure accélérée) (n° 88, 2021-2022)

Voici copie du mèl que j'ai adressé à Mme V. Paoli-Gagin, sénatrice de l'Aube (oui, encore ;)) concernant le projet de loi visant, entre autres à prolonger la durée de l'état d'urgence sanitaire, ce samedi 23 octobre après-midi :

Madame la Sénatrice, bonjour,

Je n'ignore pas, à la lecture de l'agenda du Sénat, que cette semaine est très chargée et que vous aurez beaucoup à lire, et cela dans l'urgence à cause d'une nouvelle "procédure accélérée" comme semble l'affectionner si bien le gouvernement actuel... j'ignore si, dans toute l'histoire de la Ve République, il y eut plus de "procédures accélérées" qu'en cette année 2021 ; je crois que là, nous battons tous les records, non ? je n'ignore nullement que toutes ces "procédures accélérées" rendent plus difficiles encore un débat démocratique où l'on peut partager ses opinions, ses idées afin d'adopter la meilleure solution possible. On me raconte même que certains de vos "collègues" se plaignent de plus en plus d'avoir cette impression horrible qu'on pointe sur leur tête un pistolet, à cause, justement, de ces "procédures" successives, merci de confirmer cette affirmation, vous êtes la mieux placée pour dire si elle est fondée ou non.

Dieu m'est témoin que j'aimerais bien pouvoir discuter, aussi avec vous, de tout autre chose, comme du patrimoine aubois difficile d'accès à certains endroits par exemple, mais l'actualité étant  que je doive, à nouveau, vous contacter au sujet de cette crise sanitaire et de ce nouveau projet de loi qui sera discuté au Sénat jeudi 28 octobre 2021.

Dans ce texte il est question, à nouveau, de prolonger l'état d'urgence sanitaire jusqu'au 31 juillet 2022 & de la possibilité de mobiliser par voie règlementaire le passe sanitaire, ainsi que le renforcement de la fraude au passe sanitaire & la facilitation du contrôle de l'obligation vaccinale et le renforcement de son effectivité & de la prorogation de plusieurs mesures d'accompagnement pour faire face aux conséquences de la crise sanitaire, relatives notamment au dispositif d'activité partielle.

J'ignore, Madame la Sénatrice, si vous avez eu le temps de calculer à partir des informations de l'EMA (European Medecines Agency, via EUDRAVIGILANCE - liens que je vous ai communiqués dans mon courriel du 15 octobre 2021) par vous-même le nombre de victimes qu'ont déjà fait ces piqûres, mais au cas où, et devant l'urgence, permettez-moi de vous communiquer les résultats de mes additions (à confronter, évidemment, à la première occasion, avec ceux que vous aurez trouvés - Errare humanum est : je ne suis pas à l'abri d'une erreur de calcul) :

sachant que EUDRAVIGILANCE n'est pas avertie de tous les cas, elle dénombrait toutefois le 9 octobre 2021:
1.038.276 individus subissant les effets indésirables suite à ces piqûres
dont 27.242 (soit 2,63% des cas répertoriés) sont décédés
et 33.200 (soit 3.20% des cas répertoriés) ressentent à vie les effets secondaires (ex. : paralysie)

Suite à cette hécatombe sur le court terme (qui ne nous laisse rien présager de bon pour le "moyen" et "long" terme), Madame la Sénatrice, estimez-vous que l'EMA renouvellera pour une nouvelle période de 12 mois les AMM conditionnelles des produits utilisés dans ces seringues (en essais cliniques jusqu'en 2024, selon les informations des laboratoires fabricants, cf leur fiche clinical data sur le site de l'EMA) ? N'estimez-vous pas vital de protéger la population française en, déjà, interdisant cette obligation pseudo vaccinale par un passe de la honte qui ne protège nullement son possesseur de la maladie vu que "vaccinés", soi-disant, grâce à l'ARN du coronavirus il devient, ce que ne reconnaîtront jamais Mr Alain Fischer et Mr Olivier Veran mais qui peut vous être expliqué et détaillé par n'importe quel généticien réel (non par un cancérologue dont ce n'est pas le domaine de compétence, aussi réputé soit-il dans sa spécialité), hormis ceux rémunérés par un des labo concernés, une "unité de production". Ce qui est, ma foi, un moyen étrange de lutter contre une maladie, n'est-ce pas ?
Dois-je vous rappeler aussi la définition du mot vaccin que voici :


oui, vous lisez bien "lui confère l'immunité contre la maladie" or comme il est indiqué sur le site Vaccination infoservice.fr


le gouvernement reconnaît donc là que ces injections sont inefficaces vu qu'il ne fait que de "diminuer" et non "supprimer" les dangers de la maladie et cette inefficacité entraîne chez mes compatriotes une méfiance de plus en plus grande concernant tous les vaccins (passés, présents et futurs)... Madame la Sénatrice, pourquoi vouloir utiliser de tel produit pour un si piteux résultat alors que le CNRS, l'Institut Pasteur, l'OMS proposent des molécules pour traiter les malades et cela, sans danger pour l'individu, contrairement à ces piqûres ?

Je pourrais ajouter plus encore concernant les raisons médicales pour refuser de telles injections d'un produit dangereux, mais, comme je sais votre temps précieux, je vais m'arrêter là pour le médical, et aborder, si vous le voulez bien, le problème social que génère un passe sanitaire totalement absurde...
Imaginez, Madame la Sénatrice, que vous vous promeniez dans une ville quelconque, la nature étant, vous avez envie de profiter des commodités ; or dans cette ville, tout comme dans notre chère et belle ville de Troyes, il n'y a pas de "toilettes publiques" et pour entrer dans un lieu où se trouvent des WC et cela malgré que la nécessité devienne pressante, il faut que vous patientiez plusieurs minutes supplémentaires afin que quelqu'un vérifie votre passe sanitaire et vous laisse libre-accès aux toilettes. Que précautionnez-vous, Madame la Sénatrice, dans un tel cas de figure ? de "faire pipi dans sa culotte" ?
Je ne vous parle pas de certaines réflexions que nous entendons émanant de ces âmes bien pensantes qui se croient très intelligentes tellement leurs réflexions sont absurdes et débiles mais qu'elles pensent être dans leur bon droit de pouvoir tenir, tout comme de cette préparation à un retour à la "chasse aux sorcières" orchestré par ce gouvernement qui ne sera pas ré-élu (trop de Français les haïssent maintenant, ils ne sont même plus soutenus par 5% des Français (pour l'Aube j'ai même lu le week-end dernier qu'ils n'étaient plus que 276 adhérents ! - Source : La République en marche)).

Quant à la vie économique locale, Madame la Sénatrice, en avez-vous parlé dernièrement avec les commerçants aubois ?
Si vous ne l'avez pas fait encore, je vous conseille de le faire le plus rapidement possible afin de mesurer l'ampleur du désastre du point de vue économique suite à cette obligation de passe pseudo-sanitaire.

Ce gouvernement est entrain de ruiner la France, il est entrain d'appauvrir l'Aube, notre département que nous aimons. Allez-vous lui laisser poursuivre son œuvre destructrice en votant "pour" ce projet de loi ?

Dans l'attente de votre réponse, je vous prie d'agréer, Madame la Sénatrice, mes salutations républicaines.

Le texte du projet de loi est accessible à partir du lien suivant :

Je vous invite tous à contacter votre sénateur (pour trouver votre sénateur, c'est à partir de ce lien : https://www.senat.fr/elus.html) dans les plus brefs délais (aujourd'hui si possible vu que le projet de loi est discuté ce jeudi 28 octobre 2021 et qu'il faut le temps à votre sénateur de tout lire) afin de lui demander de mettre fin à ces prolongations qui ont bien trop duré ! Y EN A PLUS QUE MARRE de cette ânerie pour un coronavirus dont nous n'avons toujours pas la preuve scientifique QU'IL EST MORTEL !!

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