La Couverture Maladie Universelle (C.M.U.)

Il y a quelques temps on m’a raconté l’anecdote suivante.

Le narrateur habite en Aquitaine.

En Aquitaine il y a de nombreux citoyens britanniques qui y ont acheté, pour leur retraite, une propriété. Qui dit « retraités » dit que ces personnes ont déjà une couverture maladie dans leur pays or certains d’entre-eux, parce que des fonctionnaires ne font pas leur travail correctement, bénéficient, en plus, de la CMU (Cherchez l’erreur !).

Un jour, un des ces ressortissants malhonnêtes (une chance, ils ne le sont pas tous), avaient besoin d’aller chez le dentiste, et parce qu’avec cette CMU volée les soins dentaires, effectués en France, lui étaient facturés à 0€ (contrairement aux mêmes soins s’il les avait effectués au Royaume-Uni, là où il habite encore), ce ressortissant malhonnête a accédé à des soins dentaires gratuits…

A votre avis, qui a payé la facture de plusieurs centaines d’Euro ?

A votre avis, qui va pâtir de ce style d’abus qui n’aurait jamais été possible si le fonctionnaire français qui lui avait donné les droits à la CMU avait fait correctement son boulot ?

Tous les ressortissants étrangers, surtout retraités, qui ont les moyens de s’acheter une résidence en France, ont les moyens financiers pour se payer les soins médicaux, surtout quand dans leur pays ils bénéficient déjà d’une couverture maladie... Alors pourquoi leur donne-t-on, en plus, la CMU ? et pourquoi donner le droit de la CMU aux ressortissants non-Français ?? ou à ceux qui n’attendent pas de décision administrative pour l’obtention de la nationalité française ???

Et pendant ce temps-là ils sont nombreux les Français qui, sensibilisés aux problèmes d’assurance-maladie, évitent de se rendre chez le médecin ou d’accroître la populace présente aux Urgences, pour ce qu’ils jugent être un petit bobo de rien du tout…

La France attire trop les « profiteurs » aussi bien étrangers que nationaux… Oui, aller aux Urgences pour, par exemple, une petite angine… ça s’appelle « abuser » et c’est prendre la place, par exemple, d’un blessé qui a besoin de soins immédiat et qui ne peut les avoir parce qu’il n’y a personne pour s’occuper de lui car le personnel est occupé avec tous ces « petits bobos » qui n’ont pas leur place aux Urgences...